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PARADIS PERDU
pour Violon, Violoncelle & Piano
Opus 7 (2019) - ca. 6 min
Cette pièce évoque l'enfance, des souvenirs d'insouciance, de paradis perdu. Elle m'a été inspirée par le poème de Gérard de Nerval : L'Enfance, dont voici les premiers vers. Qu’ ils étaient doux ces jours de mon enfance Où toujours gai, sans soucis, sans chagrin, Je coulai ma douce existence, Sans songer au lendemain. Gérard de Nerval Poésies de jeunesse
© 2019 Georges Casteig (SACEM)
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